Pour conclure...
(Multiculturalisme et mondialisme : l'échec
sans frontières)
«La nature d'une civilisation, c'est ce qui s'agrège autour d'une religion. Notre civilisation est incapable [aujourd'hui] de construire un temple ou un tombeau. Elle sera contrainte de trouver sa valeur fondamentale, ou elle se décomposera. »
- André Malraux
Plusieurs de nos beaux esprits,
afin de justifier
les infinis mérites du multiculturalisme
n'hésitent pas à reprendre la grande Rome Antique
comme exemple : ville cosmopolite par excellence, où chacun était accueilli, peu importe sa couleur,
sa race et ses origines,et qui par son dynamisme et sa force réussit
à créer une entité et un vaste empire panméditerranéen / paneuropéen qui dura des siècles ! Certes, mais ce que les beaux esprits
omettent de préciser
c'est qu'à Rome vous étiez accepté
pourvu que vous fassiez comme les Romains : À Rome, fais comme les Romains...
En effet, l'unité et l'intégration totale au modus vivendi
romain étaient primordiales. D'ailleurs, ce qui causa la chute de l'Empire
ne fut pas les invasions barbares (ce ne fut que les conséquences), mais bien un délitement plus pernicieux, de l'intérieur : celui des valeurs romaines,
de l'honneur, de l'amour de la patrie, du respect
des anciens dieux, bref ce que nous appelons
la décadence. Et cette dernière, destructrice implacable
des meilleures civilisations, est à
nos portes.
Le multiculturalisme à tout-va, l'immigration de masse (dont le but avoué est tout simplement le remplacement des populations) ainsi que le communautarisme à grande échelle qui en découle ont rendu nos démocraties fragiles, car non adaptées
aux cultures et croyances
exogènes. Notre système de valeur, purement occidental
et
issu d'un socle commun
de culture gréco-latine et d'une morale
judéo-chrétienne ne fonctionnait que par et pour nous, légataires de cet héritage pluriséculaire. Pire, nos démocraties désormais « droit-de-l'hommisme », s'avèrent une arme à double tranchant
favorisant avant tout l'étranger «réclamant ses droits» au détriment des peuples
fondateurs et/ou assimilés totalement.
Les civilisations "gentilles", incapables de se défendre, n'ont qu'un seul destin : disparaître ou mourir. Et ça tombe bien, car c'est exactement le but ultime de la Mondialisation : la destruction des peuples et des nations afin qu'émerge une gouvernance mondiale, régnant sur des individus apatrides et sans cohésion, le tout dirigé
par une élite sans-frontiériste à la botte de l'oligarchie financière mondiale.
Malheureusement pour les idéologues de Wall Street, Bruxelles et du Bilderberg : la Mondialisation et la gouvernance mondiale sont des chimères.
Avec la ruine économique annoncée des États-Unis et l'émergence d'un monde désormais multipolaire, jamais cette gouvernance mondiale ne verra le jour. Quel prix avant de le réaliser ? Sans doute celui de la décomposition de plusieurs nations occidentales, conséquence d'une expérience ratée.
La seule et unique chose qui pourrait sauver et sauvegarder les différents peuples et nations
d'Occident c'est la volonté de se défendre, le b-a-ba de sa survie.
Ne pas le faire maintenant, c'est s'assurer demain de
l'effondrement de notre socle civilisationnel, beaucoup plus fragile qu'on ne le croit. Depuis plus de 7000 ans, en fait depuis que l'Histoire existe, celle-ci nous enseigne que les nations naissent,
croissent, connaissent l'apogée puis déclinent et meurent pour être remplacées par des nations et des peuples plus motivés, agressifs et déterminés.
En ce qui concerne
le Québec, nous sommes aujourd'hui à la croisée
des chemins et les décisions
que nous prendrons prochainement dicteront si nous nous dirigeons
à marche forcée vers la « babélisation
» du Québec et la « folklorisation » de notre peuple en terre d'Amérique ou, au contraire, si nous sommes en mesure de prouver
à l'Histoire que nous avons encore la détermination et la volonté d'exister en tant que peuple unique
ayant des valeurs, une histoire
et une culture à
protéger et partager.
Pour ces raisons, une Charte des valeurs québécoises forte, n'est pas simplement une option : c'est une obligation. Qu'elle soit contestée devant tout ce qui existe de tribunaux au Canada importe
peu, l'important étant simplement de démontrer notre volonté et notre détermination à exister
selon nos règles et
nos valeurs : celles qui constituent le socle et les fondements mêmes
du Québec et de sa Nation.
Source: Vigile.net
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Merci à ma soeur, Lolo, pour son aide si précieuse
Source: Vigile.net
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Merci à ma soeur, Lolo, pour son aide si précieuse
Un texte qui dit tout, je comprends pourquoi tu voulais absolument l’intégrer dans ton blog.
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