Patrick J. Walsh développe un point de vue intéressant sur la situation politique désastreuse dans laquelle se trouve la gauche américaine, que leur victoire à la Chambre des représentants lors des élections de mi-mandat a été totalement oblitérée par leur désastre au Sénat, et surtout, le fait que deux juges conservateurs siègent maintenant à la Cour suprême, offrant une majorité de 5 contre 9 aux constitutionnalistes.
Extraits :
Quand Trump dit quelque chose, il le pense vraiment. Et ne recule pas
Depuis 2015, l’ancienne oligarchie médiatique a tenté sans succès d’épingler Donald Trump comme les lilliputiens avaient cloué Gulliver au sol, mais il brise avec mépris chacune de leurs cordes et de leurs flèches. Leurs cordes lilliputiennes n’ont pas réussi à lier ce géant politique.
Quand Trump dit quelque chose, il le pense vraiment. Et ne recule pas.
La plupart des présidents contemporains ont reculé sous la pression des médias qui se sont érigés en une sorte d’Inquisition – le nouveau bureau de l’inquisition laïque ! En reculant, les personnalités politiques deviennent alors les détenus de Media Corporation.
Le président Trump est la voix du peuple américain. La presse est celle d’une élite qui déteste ce mot.
Ils dénigrent le président Trump, disent que c’est un « populiste », un mot dérivé du mot latin « le peuple ».
Avec :
- une économie en croissance,
- des réductions d’impôts,
- plus d’emplois,
- des salaires plus élevés,
- de meilleurs accords commerciaux pour le pays,
- la nomination de juges conservateurs,
- les négociations de paix avec la Corée du Nord,
- une nouvelle politique du Moyen-Orient,
- la promotion de la réforme de l’immigration,
le président Trump peut honnêtement revendiquer qu’il s’occupe bien du peuple américain.
Sa virulence rappelle celle d’un autre président au franc-parler, Harry S. Truman.
- Truman a également ignoré les sondages d’opinions fabriqués.
- Au cours de sa campagne de 1948, que la presse prédisait que Truman allait perdre, quelqu’un cria dans la foule à laquelle il s’adressait : « Donnez-leur l’enfer Harry ! »
Le slogan de la campagne de Trump devrait être « Tell it as it is, Trump » – « appelez un chat un chat, Trump » pendant qu’il continue à parler et à tweeter des vérités au peuple américain.
Le Parti Démocrate fonctionne à la va-vite
- Ils n’énoncent aucune politique pour l’avancement de notre pays.
- Ils ont substitué l’idéologie à la politique, et les slogans comme moyen d’étouffer toute discussion intelligente.
- Leur réponse à l’intervention du président Trump en faveur d’un mur humanitaire pour protéger nos frontières était dénuée de toute substance. Elle consistait en de faibles attaques démagogiques et personnelles contre le président.
- Avoir un programme basé sur des diatribes anti-Trump rend un mauvais service au peuple américain, et ce n’est pas le moyen de remporter une élection.
Les polémiques seules ne suffisent pas
- Les partis doivent avoir quelque chose de positif à dire, pour critiquer les positions de l’autre parti.
- Les électeurs savent qu’il n’y a pas de véritable discussion sur les politiques de Trump.
- Ils entendent seulement de l’hyperbole, de l’hystérie et de l’obstruction.
L’Amérique aime les combattants, et l’équité
Attendez-vous à ce que les gens prennent leur revanche contre les médias
En plus d’aimer les combattants, le peuple américain aime l’équité et la justice. Et les médias grand public ont surjoué leur carte avec de faux reportages. Quiconque n’est pas d’accord avec le consensus qu’ils veulent imposer est qualifié de nazi, de raciste, de personne de faible intelligence ou de fou !
C’est une erreur stratégique.
Ils sont en retard sur leur temps.
Aujourd’hui, les gens disposent d’autres sources d’information en ligne et l’hégémonie oligarchique des médias grand public est en déclin.
Attendez-vous à ce que les gens prennent leur revanche contre les médias et leurs cohortes Démocrates en votant pour le candidat Républicain dans deux ans [pour la présidentielle] et rejettent les Démocrates du Congrès.
Pendant ce temps, les attaques continuelles contre le président renforcent sa popularité.
Contrairement aux médias, le président Trump comprend ce vieil adage politique :
« Qu’on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L’essentiel, c’est qu’on parle de moi »
Et Dieu m’est témoin qu’ils sont si obsédés par lui, qu’ils parlent de Trump du matin au soir.
Source: info
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