« Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice ». Georges Orwell


lundi 14 janvier 2019

Politique française: Emmanuel Macron : chronique d’un carnage annoncé

Monsieur le Président Macron, ce que vous préparez, encouragé par des ministres dont certains sentent les égouts, flatté par un parterre de courtisans atteints de stupidité politique, c’est un carnage.

Le 8 novembre dernier, avant la première manifestation des Gilets Jaunes (17 novembre), je vous adressais par le biais de Dreuz-Info une lettre ouverte. J’y écrivais, entre autres : «Entendez-vous, dans nos campagnes, le bruit des multiples moutons enragés ? Oh oui, vous l’entendez, mais vous n’en avez cure ! Vous croyez encore et toujours pouvoir tout contrôler alors que tout vous échappe, et – on le voit- la panique commence à s’emparer de l’Elysée.»
Gouverner, c’est prévoir. Vous n’avez rien prévu, malgré les avertissements multiples de ceux qui vibrent avec la France, donc l’entendent. Je suis une de ces Françaises retraitées, de celles que vous méprisez, pourtant je vois bien plus loin que vous.
Ce que vous préparez, encouragé par des ministres dont certains sentent les égouts, flatté par un parterre de courtisans atteints de stupidité politique, c’est un carnage.

Un carnage ! Ne le voyez-vous pas venir ?

Oh, certes vous n’êtes pas le seul responsable. Vous êtes l’héritier d’une oligarchie qui s’est constituée au fil des siècles avec l’appui de la franc-maçonnerie, et qui s’est emparée sans vergogne de la France. Vous en êtes le produit final, le summum de l’arrogance insensée.
Vous et vos commanditaires vous n’avez rien compris. La France a été vendue mais elle n’était pas à vendre ! Vous allez être jeté au bas de votre piédestal. Vous croyez encore que vous échapperez, mais vous n’échapperez pas. La rage à laquelle vous assistez, et dont vous ne comprenez pas la cause, n’est encore qu’une étincelle face à l’incendie qui va tout dévaster. C’est vous qui l’avez attisé, il vous reviendra.
Le dramatique, le terrible, c’est que plus personne maintenant ne peut maîtriser les évènements, vous encore moins que quiconque, même en mobilisant la police, les CRS, l’armée, vos chars, vos mitrailleuses, et même en appelant à l’aide des pays étrangers.
Je suis vraiment en colère contre vous, Monsieur Macron, parce que vous n’avez pas su comprendre à temps qu’il vous fallait démissionner, pour éviter que le sang coule. Des centaines de milliers de Français, pourtant, le criaient dans les rues et sur les ronds-points : «Macron, démission !». Désormais c’est trop tard. Vous avez utilisé toutes vos cartouches, elles n’ont pas fait mouche. Votre lettre aux Français ? Un pétard mouillé. Cela prendra peut-être des semaines, des mois, voire des années, mais la France va être entièrement retournée. Carnage ! C’est le mot qui me hante depuis hier. Le sang des Français va couler, mais il retombera sur vous. Quant à la clique qui vous soutient, il n’en restera rien ! Plus vous tardez à obtempérer, plus les masques tombent, plus les Français discernent le monstre qui se cache derrière l’Élysée, par qui ils ont été spoliés, dupés, trompés, trahis, depuis des décennies. Le temps se rapproche où ils découvriront, épouvantés, le vrai visage de Bercy, et celui de l’Europe qu’on les a forcés à accepter alors qu’ils n’en voulaient pas.
Cet avertissement serait le cri d’un désespoir absolu, si je n’avais la conviction, depuis bien des années où j’ai senti venir ce cataclysme, qu’à la suite de cela, même sur des décombres, il en renaîtra la France de mes ancêtres, la France de ma jeunesse, enfin débarrassée des cancrelats scélérats et méprisables qui ont rendu la France malade à en mourir, en s’aidant, pour mieux la tuer, de l’invasion de cancrelats venus d’ailleurs, porteurs d’une peste morale létale.
Oui, Monsieur Macron, je vous le dis, vous avez manqué le but, vous et toute votre clique. Vous n’aurez pas MA France.
Isa Normand
Source: Dreuz-info
 

samedi 12 janvier 2019

Politique américaine: La gauche américaine se noie dans sa frustration et sa haine du président (et Trump le sait)

 

Patrick J. Walsh développe un point de vue intéressant sur la situation politique désastreuse dans laquelle se trouve la gauche américaine, que leur victoire à la Chambre des représentants lors des élections de mi-mandat a été totalement oblitérée par leur désastre au Sénat, et surtout, le fait que deux juges conservateurs siègent maintenant à la Cour suprême, offrant une majorité de 5 contre 9 aux constitutionnalistes.
Extraits :

Quand Trump dit quelque chose, il le pense vraiment. Et ne recule pas

Depuis 2015, l’ancienne oligarchie médiatique a tenté sans succès d’épingler Donald Trump comme les lilliputiens avaient cloué Gulliver au sol, mais il brise avec mépris chacune de leurs cordes et de leurs flèches. Leurs cordes lilliputiennes n’ont pas réussi à lier ce géant politique.
Quand Trump dit quelque chose, il le pense vraiment. Et ne recule pas.
La plupart des présidents contemporains ont reculé sous la pression des médias qui se sont érigés en une sorte d’Inquisition – le nouveau bureau de l’inquisition laïque ! En reculant, les personnalités politiques deviennent alors les détenus de Media Corporation.
Le président Trump est la voix du peuple américain. La presse est celle d’une élite qui déteste ce mot.
Ils dénigrent le président Trump, disent que c’est un « populiste », un mot dérivé du mot latin « le peuple ».
Avec :
  • une économie en croissance,
  • des réductions d’impôts,
  • plus d’emplois,
  • des salaires plus élevés,
  • de meilleurs accords commerciaux pour le pays,
  • la nomination de juges conservateurs,
  • les négociations de paix avec la Corée du Nord,
  • une nouvelle politique du Moyen-Orient,
  • la promotion de la réforme de l’immigration,
le président Trump peut honnêtement revendiquer qu’il s’occupe bien du peuple américain.
Sa virulence rappelle celle d’un autre président au franc-parler, Harry S. Truman.
  • Truman a également ignoré les sondages d’opinions fabriqués.
  • Au cours de sa campagne de 1948, que la presse prédisait que Truman allait perdre, quelqu’un cria dans la foule à laquelle il s’adressait : « Donnez-leur l’enfer Harry ! »
Le slogan de la campagne de Trump devrait être « Tell it as it is, Trump » – « appelez un chat un chat, Trump » pendant qu’il continue à parler et à tweeter des vérités au peuple américain.

Le Parti Démocrate fonctionne à la va-vite

  • Ils n’énoncent aucune politique pour l’avancement de notre pays.
  • Ils ont substitué l’idéologie à la politique, et les slogans comme moyen d’étouffer toute discussion intelligente.
  • Leur réponse à l’intervention du président Trump en faveur d’un mur humanitaire pour protéger nos frontières était dénuée de toute substance. Elle consistait en de faibles attaques démagogiques et personnelles contre le président.
  • Avoir un programme basé sur des diatribes anti-Trump rend un mauvais service au peuple américain, et ce n’est pas le moyen de remporter une élection.

Les polémiques seules ne suffisent pas

  • Les partis doivent avoir quelque chose de positif à dire, pour critiquer les positions de l’autre parti.
  • Les électeurs savent qu’il n’y a pas de véritable discussion sur les politiques de Trump.
  • Ils entendent seulement de l’hyperbole, de l’hystérie et de l’obstruction.

L’Amérique aime les combattants, et l’équité

Attendez-vous à ce que les gens prennent leur revanche contre les médias

En plus d’aimer les combattants, le peuple américain aime l’équité et la justice. Et les médias grand public ont surjoué leur carte avec de faux reportages. Quiconque n’est pas d’accord avec le consensus qu’ils veulent imposer est qualifié de nazi, de raciste, de personne de faible intelligence ou de fou !
C’est une erreur stratégique.
Ils sont en retard sur leur temps.
Aujourd’hui, les gens disposent d’autres sources d’information en ligne et l’hégémonie oligarchique des médias grand public est en déclin.
Attendez-vous à ce que les gens prennent leur revanche contre les médias et leurs cohortes Démocrates en votant pour le candidat Républicain dans deux ans [pour la présidentielle] et rejettent les Démocrates du Congrès.
Pendant ce temps, les attaques continuelles contre le président renforcent sa popularité.
Contrairement aux médias, le président Trump comprend ce vieil adage politique :
« Qu’on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L’essentiel, c’est qu’on parle de moi »
Et Dieu m’est témoin qu’ils sont si obsédés par  lui, qu’ils parlent de Trump du matin au soir.
Source: info