Le Devoir - 16 mai 2012 |
La loi spéciale leur est tombée dessus comme une épée de Damoclès. Madame Courchesne aura-t-elle été plus efficace que madame Beauchamp? Évidemment!
L'astuce a été magistrale. La ruse a été géniale. La fourberie a été incontestable. Les chefs étudiants ont été tout bonnement roulés dans la farine, celle avec laquelle elle avait cuisiné ses p'tits biscuits ...
***
Marie-Andrée Chouinard, Le Devoir, écrit ce matin: «Ce sera donc une pause dans l’escalade de la tension. Rien n’est réglé
sur le fond, rien du tout même, mais une bouffée d’air jusqu’en août
permettra peut-être justement cette négociation de la dernière chance.
Croisons les doigts.
Ironie suprême : c’est au nom de l’accès à l’éducation - exactement
l’enjeu pointé par les détracteurs de la hausse - que le premier
ministre a présenté hier soir sa sortie de crise… à l’électorat. Il
propose une pause salutaire, car les tensions étaient trop vives de part
et d’autre. Cet arrêt doit servir à discuter.
Québec évite la confrontation dans l’immédiat, mais pellette en avant
les problèmes potentiels. Les cours ne seront pas annulés, mais
suspendus, avec reprise en août. D’ici là, pause santé, réflexion et,
espérons-le, négociation.»
À suivre.
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Et pendant ce temps, dans les sondages ...
Jean Charest réussira-t-il avec le conflit étudiant, là, où a échoué son ami français, Nicolas Sarkozy, avec l'affaire Mohamed Merah, dans le massacre de Toulouse.
May
May
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