Peu importe comment on les appelle: les ex, les belles-mères, les revenants, etc ...
Les ex-chefs du PQ n’en peuvent plus de se morfondre devant le miroir de leur échec à faire du Québec un pays libre et indépendant quand ils étaient à la tête de leur parti.
Ni l’un ni l’autre, que ce soit Lucien Bouchard, Jacques Parizeau (le seul qui ait vraiment essayé) ou Bernard Landry, aucun d’entre eux n’est heureux du sort que leur réserve(ra) l’Histoire.
«Au pouvoir, comme dans l'opposition, le Parti québécois a toujours eu du mal à accorder à ses chefs la liberté de choisir les stratégies qui leur paraissent les mieux appropriées à la conjoncture du moment.», écrit Bernard Descôteaux, ce matin, dans Le Devoir.
Est-ce pour mettre un baume rafraîchissant sur cette plaie vive qui les tenaille, qu’ils n’ont de cesse de picosser chacun à leur manière, la leader actuelle du parti, Pauline Marois et tout ce qui l'entoure?
Les ex-chefs du PQ n’en peuvent plus de se morfondre devant le miroir de leur échec à faire du Québec un pays libre et indépendant quand ils étaient à la tête de leur parti.
Ni l’un ni l’autre, que ce soit Lucien Bouchard, Jacques Parizeau (le seul qui ait vraiment essayé) ou Bernard Landry, aucun d’entre eux n’est heureux du sort que leur réserve(ra) l’Histoire.
«Au pouvoir, comme dans l'opposition, le Parti québécois a toujours eu du mal à accorder à ses chefs la liberté de choisir les stratégies qui leur paraissent les mieux appropriées à la conjoncture du moment.», écrit Bernard Descôteaux, ce matin, dans Le Devoir.
Est-ce pour mettre un baume rafraîchissant sur cette plaie vive qui les tenaille, qu’ils n’ont de cesse de picosser chacun à leur manière, la leader actuelle du parti, Pauline Marois et tout ce qui l'entoure?
Il ne faudrait pas oublier leur misogynie!
RépondreSupprimer