Il ne faut pas croire parce que c’est l’été, la saison des vacances, des grandes chaleurs et des belles journées, que les gens cessent de penser, de réfléchir, de s’informer, de s’étonner et de se scandaliser.
Si en haut lieu, on misait sur l’alanguissement général, afin de passer à autre chose et tourner la page sur ce qu’il se passe depuis plus d’un an et demi dans les officines du gouvernement de Jean Charest et de son parti, eh bien, on a frappé un joli noeud. L’affaire Bettencourt-Woerth-Sarkozy en France nous a remis et nous retient sur la piste de notre propre situation, notre propre corruption, nos propres scandales.
Chaque jour, dans L’Express, Le Monde, Le Courrier international, Le Nouvel Observateur, Le Devoir, www.Vigile.net, etc, (sauf évidemment dans La Presse), l’affaire BWS qui tient la France en haleine depuis plus de six semaines, ne peut faire autrement que de nous remettre le nez dans notre propre merdier, ici.
Et si ça sent mauvais en France actuellement au point d’en appeler à la presque mobilisation nationale, ici, avec les chaleurs qui ont eu cours cet été, il n’est pas grossier de dire que notre merde à nous s’est probablement transformée en fumier depuis. Mais n'est-ce pas avec le fumier qu'on fertilise les plus beaux jardins ... à venir?
«Ce n’est certes qu’une image plaisante, mais elle illustre ce que chacun d’entre nous a instinctivement compris dès le début de ce feuilleton : qu’il mettait à découvert un monde où l’argent était à la fois la mesure de toute chose et, en même temps, avait perdu tout sens de la mesure. Un monde où les millions circulent de la main à la main et par-dessus les frontières, sans autre règle que l’entre soi.», écrivait aujourd'hui Edwy Plenel, journaliste de Médiapart (d'où sont apparues les premières révélations de ce scandale). Cela dit, les Français réussiront-ils ce que nous n’avons pas encore réussi au Québec? C’est-à-dire ébranler les colonnes de ces (deux) régimes corrompus par l'argent et le pouvoir de l'argent?
Si en haut lieu, on misait sur l’alanguissement général, afin de passer à autre chose et tourner la page sur ce qu’il se passe depuis plus d’un an et demi dans les officines du gouvernement de Jean Charest et de son parti, eh bien, on a frappé un joli noeud. L’affaire Bettencourt-Woerth-Sarkozy en France nous a remis et nous retient sur la piste de notre propre situation, notre propre corruption, nos propres scandales.
Chaque jour, dans L’Express, Le Monde, Le Courrier international, Le Nouvel Observateur, Le Devoir, www.Vigile.net, etc, (sauf évidemment dans La Presse), l’affaire BWS qui tient la France en haleine depuis plus de six semaines, ne peut faire autrement que de nous remettre le nez dans notre propre merdier, ici.
Et si ça sent mauvais en France actuellement au point d’en appeler à la presque mobilisation nationale, ici, avec les chaleurs qui ont eu cours cet été, il n’est pas grossier de dire que notre merde à nous s’est probablement transformée en fumier depuis. Mais n'est-ce pas avec le fumier qu'on fertilise les plus beaux jardins ... à venir?
«Ce n’est certes qu’une image plaisante, mais elle illustre ce que chacun d’entre nous a instinctivement compris dès le début de ce feuilleton : qu’il mettait à découvert un monde où l’argent était à la fois la mesure de toute chose et, en même temps, avait perdu tout sens de la mesure. Un monde où les millions circulent de la main à la main et par-dessus les frontières, sans autre règle que l’entre soi.», écrivait aujourd'hui Edwy Plenel, journaliste de Médiapart (d'où sont apparues les premières révélations de ce scandale). Cela dit, les Français réussiront-ils ce que nous n’avons pas encore réussi au Québec? C’est-à-dire ébranler les colonnes de ces (deux) régimes corrompus par l'argent et le pouvoir de l'argent?
Aussi si le coeur vous en dit: http://www.dailymotion.com/video/xdv7zj_segolene-royal-le-systeme-sarkozy-e_news
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