J’ai tout fait pour demeurer positive, optimiste, philosophe, etc. J’ai bien essayé, mais en vain. Là, il faut bien me rendre à l’évidence. La plus grande tare des Québécois, c’est d’être francophones.
Pourquoi est-ce si difficile chez les francophones d’abord de prendre des décisions, ensuite de prendre les bonnes (décisions)? Le CHUM n'est-il pas un exemple de cette indécision chronique?
À suivre ... avec le temps, de temps en temps!
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