Le constat est implacable. Drôle de cas, le citoyen québécois. Difficile à comprendre qu'il s'insurge autant contre la nomination d'un coach unilingue anglophone chez les Canadien de Montréal, alors que dans un comté de la province, une majorité d'électeurs ont voté de leur plein gré, le 2 mai 2011, pour une députée unilingue anglophone, dont la photo était affichée sur un poteau. Cherchez l'erreur.
Merci Lora
Merci Lora
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