Nul besoin d'en appeler au retour des "Yvette" pour se porter à la défense de Pauline Marois.
On dirait qu'elle est bien capable de faire ça elle-même.
« Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice ». Georges Orwell
Les grands partis politiques au Québec sont reconnus pour avoir les reins solides, ou la couenne dure, si vous préférez. D’ailleurs le plus solide d’entre eux, le Parti libéral du Québec (PLQ), né en 1867, n’a pas fini de nous surprendre par sa verdeur. Il a beau être le plus vieux de nos partis, mais avec ses 145 ans bien sonnés, il n’a jamais beaucoup bronché. Un chêne, vous dis-je!
Quant au Nouveau Parti Démocratique, un parti fédéraliste fondé en 1961, il a traversé des périodes sombres et a navigué sur de longs fleuves tranquilles, mais avec ses 51 ans d’existence, on n’a jamais entendu dire qu’il était un vieux parti, ni avant ni après, le 2 mai dernier.
Alors si on pense que le Parti québécois va disparaître de sitôt, on fait mieux d’aller se rhabiller. Bâti comme il est, en bois de calvaire (c'est madame Payette qui le dit parce qu'elle l'a entendu ...), il peut encore tenir un bon bout de temps.