C'est comme Le choix du Président. Aussi sérieux que ça, yes, sir! Les Canadiens me surprendront toujours. «Deux palmarès différents ont accordé ces derniers jours à Russell Williams, officier déchu et meurtrier, le titre de personnalité qui a le plus marqué l'actualité au Canada en 2010. Un choix révélateur d'une société qui préfère ses peurs à ses espoirs.», écrit Josée Boileau, dans Le Devoir d'aujourd'hui.
N’y a-t-il pas une année passée où ils avaient choisi le célèbre et très «coloré» chroniqueur sportif, Don Cherry? Une grande gueule payée au gros salaire et applaudie à tout rompre pour insulter tantôt les joueurs de hockey francophones, tantôt la race québécoise au grand complet.
Le Canada est bien une société qui préfère ses peurs à ses espoirs. Mais quelles peurs? Peurs de qui? Peurs de quoi?
Peur de nous?
Allons, réfléchissons!
N’y a-t-il pas une année passée où ils avaient choisi le célèbre et très «coloré» chroniqueur sportif, Don Cherry? Une grande gueule payée au gros salaire et applaudie à tout rompre pour insulter tantôt les joueurs de hockey francophones, tantôt la race québécoise au grand complet.
Le Canada est bien une société qui préfère ses peurs à ses espoirs. Mais quelles peurs? Peurs de qui? Peurs de quoi?
Peur de nous?
Allons, réfléchissons!
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