Pétrolia a constaté que la zone qu’elle juge prometteuse renferme une structure géologique semblable à ce qu’on retrouve dans certains secteurs de l’Alberta |
L’entreprise Pétrolia, qui contrôle les permis d’exploration pétrolière
d’une bonne partie de la Gaspésie, pense avoir découvert un site qui
renfermerait d’importantes quantités de pétrole et de gaz. Son projet
d’exploration Bourque, situé à l’est de Murdochville, pourrait contenir
plus de 100 millions de barils de pétrole, a déjà fait valoir son
président.
La pétrolière a mené deux forages exploratoires l’été dernier entre Murdochville et Grande-Vallée, avec le soutien financier de Québec. Et les nouvelles semblent très bonnes pour Pétrolia. Selon ce qu’elle a fait valoir mercredi par voie de communiqué, les résultats d’analyses menées sur un seul des deux puits, Bourque 1, « révèlent la présence d’un réservoir renfermant d’importantes quantités d’hydrocarbures, dont du pétrole, des condensats et du gaz naturel ». Le pétrole qui a été tiré du forage à titre de test était « très léger ». Ce type d’or noir est très recherché, notamment parce qu’il est plus simple à raffiner.
Vice-présidente de Pétrolia, Isabelle Proulx n’a pas souhaité s’avancer mercredi sur une évaluation du potentiel qui se trouverait sous les permis d’exploration détenus par l’entreprise. Celle-ci a confié à la firme albertaine Sproule Associates le mandat « d’évaluer le volume d’hydrocarbures » qui se trouveraient dans ce réservoir. C’est cette entreprise qui a déjà évalué le potentiel pétrolier de l’île d’Anticosti pour Pétrolia.
Lors de l’assemblée annuelle 2012 de la pétrolière, son président, André Proulx, avait toutefois souligné que « par sa taille, la structure de Bourque pourrait contenir 100 millions de barils de pétrole facile à exploiter et dont la rentabilité ne fait pas de doute ». Au prix actuel de l’or noir, la valeur brute de ce gisement pourrait donc atteindre plusieurs milliards de dollars. Quant à la zone actuellement explorée, elle recoupe essentiellement deux permis détenus depuis 2009. Ceux-ci coûtent au total 3753,90 $ par année - à raison de 10 ¢ l’hectare -, selon ce qu’on peut calculer à partir des données du ministère des Ressources naturelles. Pétrolia détient un total de 45 permis en Gaspésie, pour une superficie totale de 8200 km2. Cela représente 17 fois l’île de Montréal.
La pétrolière a mené deux forages exploratoires l’été dernier entre Murdochville et Grande-Vallée, avec le soutien financier de Québec. Et les nouvelles semblent très bonnes pour Pétrolia. Selon ce qu’elle a fait valoir mercredi par voie de communiqué, les résultats d’analyses menées sur un seul des deux puits, Bourque 1, « révèlent la présence d’un réservoir renfermant d’importantes quantités d’hydrocarbures, dont du pétrole, des condensats et du gaz naturel ». Le pétrole qui a été tiré du forage à titre de test était « très léger ». Ce type d’or noir est très recherché, notamment parce qu’il est plus simple à raffiner.
Vice-présidente de Pétrolia, Isabelle Proulx n’a pas souhaité s’avancer mercredi sur une évaluation du potentiel qui se trouverait sous les permis d’exploration détenus par l’entreprise. Celle-ci a confié à la firme albertaine Sproule Associates le mandat « d’évaluer le volume d’hydrocarbures » qui se trouveraient dans ce réservoir. C’est cette entreprise qui a déjà évalué le potentiel pétrolier de l’île d’Anticosti pour Pétrolia.
Lors de l’assemblée annuelle 2012 de la pétrolière, son président, André Proulx, avait toutefois souligné que « par sa taille, la structure de Bourque pourrait contenir 100 millions de barils de pétrole facile à exploiter et dont la rentabilité ne fait pas de doute ». Au prix actuel de l’or noir, la valeur brute de ce gisement pourrait donc atteindre plusieurs milliards de dollars. Quant à la zone actuellement explorée, elle recoupe essentiellement deux permis détenus depuis 2009. Ceux-ci coûtent au total 3753,90 $ par année - à raison de 10 ¢ l’hectare -, selon ce qu’on peut calculer à partir des données du ministère des Ressources naturelles. Pétrolia détient un total de 45 permis en Gaspésie, pour une superficie totale de 8200 km2. Cela représente 17 fois l’île de Montréal.